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Corenblit Rachel
L’aîné de mes soucis
De: Corenblit RachelS’il était une fois…
Une grand-mère, deux garçons, l’aîné et le cadet.
L’aîné ne supporte plus ce cadet tant admiré, si sage, si mignon, encombrant quoi !
Que va t-il arriver au cadet ?
Une pièce drôle, intelligente, tendre où on se joue des contes, où rôde la jalousie mais triomphe l’amour.
Alors l’aîné part à la recherche de celui qui le débarrassera de son frère. Le serpent refuse ses services, le loup manque d’appétit, la sorcière est en retraite. L’ogre, la princesse Dracula n’écouteront pas non plus la demande de l’aîné. Survient l’ogresse…
La grand-mère est toujours présente pour accueillir sur ses genoux les fils de sa fille…. Et leur raconter des histoires d’ogre, de loup, de sorcière.
Extrait page 10
– L’aîné : Et combien de temps, je vais me le coltiner ? Depuis qu’il est né, il est là et ça ne va pas alors je voudrais savoir ! Combien de temps encore, je vais devoir me le farcir ?
– La sorcière : J’ai aussi vendu ma boule de cristal et mon miroir magique. Je ne peux pas savoir. Désolée.
– L’aîné : c’est pas juste.Extrait page 23
– Dracula : Donc, je plante mes incisives dans le cou. Là où palpite cette magnifique rivière de vie qui va irriguer mon âme éternelle.
– L’aîné : Parfait !
– Dracula : Et j’aspire.
– L’aîné : Terrible !
« Dans l’aîné de mes soucis, on assiste aux tentatives d’un grand frère pour se débarrasser de son cadet. Les deux garçons se disputent tant qu’ils épuisent leur mère. La grand-mère bienveillante, les accueille le temps d’un après-midi et leur raconte des histoires d’ogre, de serpent et de princesse. L’aîné se prend alors à rêver : et s’il leur refilait le petit frère ?
Qu’ils le dévorent, le transpercent ou l’étouffent de baisers !
Qu’il ait enfin la paix ! Mais alors que l’ogresse est prête à accommoder son cadet façon tartare, il n’est soudain plus si sûr de lui…Que de justesse, de finesse dans cette écriture au cordeau ! Ce texte ne demande pas tant à être joué, que simplement lu tant il claque de vérité.”
Marie-Laure Fréchet, revue Eulalie mai 2010
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9,00€
S’il était une fois…
Une grand-mère, deux garçons, l’aîné et le cadet.
L’aîné ne supporte plus ce cadet tant admiré, si sage, si mignon, encombrant quoi !
Que va t-il arriver au cadet ?
Une pièce drôle, intelligente, tendre où on se joue des contes, où rôde la jalousie mais triomphe l’amour.
Alors l’aîné part à la recherche de celui qui le débarrassera de son frère. Le serpent refuse ses services, le loup manque d’appétit, la sorcière est en retraite. L’ogre, la princesse Dracula n’écouteront pas non plus la demande de l’aîné. Survient l’ogresse…
La grand-mère est toujours présente pour accueillir sur ses genoux les fils de sa fille…. Et leur raconter des histoires d’ogre, de loup, de sorcière.
Extrait page 10
– L’aîné : Et combien de temps, je vais me le coltiner ? Depuis qu’il est né, il est là et ça ne va pas alors je voudrais savoir ! Combien de temps encore, je vais devoir me le farcir ?
– La sorcière : J’ai aussi vendu ma boule de cristal et mon miroir magique. Je ne peux pas savoir. Désolée.
– L’aîné : c’est pas juste.Extrait page 23
– Dracula : Donc, je plante mes incisives dans le cou. Là où palpite cette magnifique rivière de vie qui va irriguer mon âme éternelle.
– L’aîné : Parfait !
– Dracula : Et j’aspire.
– L’aîné : Terrible !
« Dans l’aîné de mes soucis, on assiste aux tentatives d’un grand frère pour se débarrasser de son cadet. Les deux garçons se disputent tant qu’ils épuisent leur mère. La grand-mère bienveillante, les accueille le temps d’un après-midi et leur raconte des histoires d’ogre, de serpent et de princesse. L’aîné se prend alors à rêver : et s’il leur refilait le petit frère ?
Qu’ils le dévorent, le transpercent ou l’étouffent de baisers !
Qu’il ait enfin la paix ! Mais alors que l’ogresse est prête à accommoder son cadet façon tartare, il n’est soudain plus si sûr de lui…Que de justesse, de finesse dans cette écriture au cordeau ! Ce texte ne demande pas tant à être joué, que simplement lu tant il claque de vérité.”
Marie-Laure Fréchet, revue Eulalie mai 2010
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ISBN: 978-2-353610-16-7
Editeur: Éditions La Fontaine
Date d'édition: 2010
Nombre de pages: 32
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